Parmi mes premiers vrais émois hiphopistiques, figure le premier album de RJD2, Deadringer, sorti chez Definitive Jux en 2002. Vraiment du lourd du début jusqu'à la fin.
Et je mettais ce morceau à l'allure d'interlude, 'Take the picture off', en boucle... puisqu'il m'a fait prendre conscience (lui et d'autres tracks) de la puissance que peut apporter le scratch... surtout lorsqu'il est, comme ici, combiné à un sample de cuivres de folie et une rythmique implacable.
J'aime aussi la note humoristique de la fin :) Enjoy
Edit : lien de l'album ajouté.
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1 commentaire:
Ma découverte du bonhomme...
Aïe aïe aïe, ça nous rajeunit pas, tout ça.
Merci Cheeky ;)
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